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Historique des projets

2018-2027 : Un savoir-faire inscrit à l'Unesco

Retour sur les grandes étapes d'inscription du projet à l'Unesco.


2023

 

29 mars : Dépôt de la candidature d'extension à l'amabasse de l'Unesco à Paris

 

Andorre, Autriche, Belgique, Irlande, Luxembourd + 3 autres Communautés Autonomes d'Espagne : Madrid, Murcie, îles Canaries (qui rejeoignent les 8 autres précédentes) candidatent.

Les représentants de chacun des 13 pays se sont réunis au siège de l'UNESCO à Paris pour signer et soumettre officiellement à Tim CURTIS, Secrétaire de la Convention UNESCO sur le Patrimoine culturel immatériel de 2003, le dossier de demande d'agrégation. Celui-ci sera évalué par l'UNESCO dans le cadre d'une procédure qui durera plus d'un an. La décision est attendue pour la fin de l'année 2024.

Photo : © UNESCO Luxembourg

 

Ce dossier de candidature transnationale a été préparé grâce à la coopération de chacun des 13 pays, en consultation avec les porteurs de la construction en pierre sèche, les experts concernés, les ONG et les organismes publics, qui souhaitent collectivement obtenir une reconnaissance internationale supplémentaire de cet élément clé du patrimoine vivant et qui s'engagent à travailler ensemble pour sauvegarder cette pratique pour les générations futures.

 

La définition de la technique de construction en pierre sèche a été revue pour l'occasion dans le texte de candidature de l'Unesco. Le mot "empillement de pierres" contenu dans la candidature de 2018 a disparu. La nouvelle définition est proposée ci-dessous :

 

 

La construction en pierre sèche est la pratique qui consiste à construire en pierre sans utiliser de mortier ou autre matériau liant. Une compréhension innée de la géométrie et de la gravité est nécessaire, ainsi que des compétences qui se développent au fil de nombreuses années de manipulation de la matière première que les communautés récupèrent dans leur environnement immédiat. La construction en pierre sèche est réalisée grâce à une sélection et une disposition minutieuses des pierres afin d'assurer la stabilité à long terme de la structure et son adaptation au terrain local. Quelques outils simples sont nécessaires pour pratiquer ce métier: un marteau, une barre d'acier, un pic, une pelle et un cordeau.

 

La construction en pierre sèche est une pratique durable qui est étroitement liée à de nombreux aspects de l'Agenda 2030 pour le développement durable, notamment l'industrie, l'innovation et les infrastructures durables (ODD 7); les villes et communautés durables (ODD 11); la vie sur terre (ODD 15); et, en tant que contributeur direct à la protection de la biodiversité (ODD 15)."

 


2022

 

Projet de candidature pour deux nouveaux pays : la Belgique et Andorre

 

À leur tour, la Belgique et Andorre demandent à rejoindre la communauté.

 

La pierre sèche est mise à l'honneur, invitée pour la première fois dans les jardins du Palais Royal, siège du Ministère de la Culture à Paris aux Journées européennes du Patrimoine (#JEP 2022). Extrait du discour éditorial de Madame Rima ABDUL-MALAK Ministre de la Culture : "Autant de techniques d’autrefois, telles que l’utilisation des ressources locales aux qualités reconnues, terre crue ou pierres sèches, qui inspirent de nouveaux modes de construction plus durables pour créer l’habitat de demain."

 

Madame Rima ABDUL-MALAK Ministre de la Culture devant le stand pierre sèche avec Eric Leboucher, Matéo Curti et Bruno Schneider muraillers - Photo © Le Rocher Blin

 


2021

 

17ème Congrès international de la pierre sèche, Cavtat en Konavle (Croatie)

Le 17ème CONGRES INTERNATIONAL fut l'occasion d'inviter les représentants des 8 gouvernements impliqués dans le dossier UNESCO avec la Société scientifique internationale pour l'étude pluridisciplinaire de la pierre sèche (SPS).

Les nouveaux pays souhaitant s'engager dans une candidature dite d'agrégation ont répondu présent en visioconférence : AutricheIrlande et  Luxembourg ont fait leur demande officiellement à Chypre (pays qui avait porté la candidature transnationale à 8 pays et l'avait déposé à l'UNESCO en 2017).

La SPS et les congressistes présents dans le centre culturel de Cavtat, ainsi que ceux virtuellement présents, ont applaudi avec joie ces 3 pays nouveaux venus parmi la communauté.

 

  

Extrait des échnages en direct en visio, avec de gauche à droite, ligne du haut : Antonia THEODOSIOU chypriote, Vice Présidente SPS depuis Cavtat, puis les représentants des gouvernements : Madame Thekla PAPANTONIOU pour Chypre et Madame Marie BAUER pour l'Autriche; ligne du dessous  Madame Sinead O'HARA pour l'Irlande et Monsieur Patrick Dondelinger pour le Luxembourg. 

 


2019

 

16 février : Célébration de la reconnaissance Unesco à Saumane-de-Vaucluse (84)

Une journée de fête pour tous les acteurs de la pierre sèche rassemblés à l'occasion au Château de Sade à Saumane-de-Vaucluse, Provence, près de 200 personnes venant de toute la France et d'Europe !

 

Les discours d'Isabelle CHAVE Conservatrice en Chef du Patrimoine représentant le Ministère de la Culture et de Laurent STEFANINI Ambassadeur de France auprès de l'UNESCO représentant également Mechtild ROSSLER Directrice du Centre du patrimoine mondial à l'UNESCO, ont été chaleureux et trés encourageant pour poursuivre l'action !

 

Photo © Didier RESPAUD-BOUNY

 

 

 Quelques membres de la SPS et de la FFPPS - © Didier RESPAUD-BOUNY

 

Michelangelo DRAGONE Pouilles Italie, Claire CORNU Provence France, Agustin PETSCHEN Minorque Baléares Espagne,  Isabelle CHAVE Ministère français de la Culture, Laurent STEFANINI Ambassadeur de France auprès de l'UNESCO, Eleni PANGKRATIOU Epire Grèce, Ada ACOVITSIOTI-HAMEAU Provence France - Photo: © Didier RESPAUD-BOUNY

 

Lire l'article de la CMAR PACA

 

 

 


2018 

 

Inscription à l'Unesco à Port-Louis, République de Maurice

 

"L'Art de la construction en pierre sèche : savoir-faire et techniques" est reconnu par le XIIIème Comité intergouvernemental de sauvegarde du Patrimoine culturel immatériel (PCI) de l'UNESCO.

 

Extrait vidéo du XIIIe Comité intergouvernemental de sauvegarde du Patrimoine Culturel Immatériel (PCI) de l'Unesco

 

 

Lire le communiqué de presse de la SPS

 

8 gouvernements unis pour une candidature transnationale : Croatie, Chypre, Espagne, France, Grèce, Italie, Slovénie, Suisse.

Pour l'Espagne, ce sont précisément les Communautés Autonomes de Galice, Asturies, Aragon, Catalogne, Extrémadure, Valenciana, Andalousie et les îles Baléares.

 

 


2012

CRÉATION DE LA FFPPS

Le 20 janvier 2012, la Fédération française des professionnels de la pierre sèche est créée à Avignon, rassemblant de nombreux acteurs de la pierre sèche, aussi bien des praticiens, des enseignants-chercheurs et des passionnés.

Parmi ses membres fondateurs, la FFPPS compte :

 

Des associations de praticiens

  • Les Artisans Bâtisseurs en Pierres Sèches (ABPS), sous la présidence de Marc Dombre
  • Les Muraillers de Provence, sous la présidence de Paul Arnault
  • La Confrérie des bâtisseurs en pierre sèche (CBPS), sous la présidence de Maurice Roustan

 

Des enseignants-chercheurs

 

Des acteurs engagés

 

La création de cette association a été soutenue par le Ministère de l'écologie représenté par Jean-Michel Grosselin, l'Institut de recherche et de formation aux métiers de la pierre soutenue par l'Association ouvrière des Compagnons du Devoir et du Tour de France.

 


2011-2015

DES PROGRAMMES D'ÉTUDES TECHNIQUES AMBITIEUX

En 2011 et 2013, de nouvelles campagnes expérimentales sur les murs de soutènement de la route sont menées en Vaucluse, sous la direction de Jean-Claude Morel et Denis Garnier du Laboratoire NAVIER de l'École nationale des Ponts & Chaussées. Ces campagnes donnent lieu à un nouveau projet de thèse de doctorat en génie civil, par Hanh Le.

Le réseau national EcoBâtir a initié l’étude « Analyse des systèmes constructifs non industrialisés » (ASCNI) pilotée par le Centre scientifique et technique du bâtiment (CSTB) et l’Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie (ADEME) de Rhône Alpes, sur 3 matériaux : pierre sèche, terre et chanvre.

 

À partir de 2011, de nouveaux programmes voient le jour. Des expérimentations, modélisations en vue de la connaissance et de la gestion des barrages et ouvrages d’art routiers sont alors réalisées, avec de nombreux partenaires.

 

LIRE L'ARTICLE DE LA REVUE "LE MONITEUR"


2011

VALIDATION DU PROJET PAR LE MINISTÈRE DE LA CULTURE

Le 18 juillet 2011, Réuni par la Chambre de métiers et de l'artisanat de Vaucluse (CMA84), un groupe français rassemblé à l'Abbaye de St Hilaire en Luberon, validait le projet auprès de Sylvie Grenet, Ministère de la Culture et de Catherine Virassamy, Institut national des métiers d'art (INMA).

Courrier officiel d'invitation de la CMA 84 à se rassembler pour cette candidature UNESCO.

Thierry BOURCEAU, Catherine VIRASSAMY et Sylvie GRENET

© Claire Cornu 

  

Abbaye St Hilaire, Ménerbes, Luberon, Vaucluse (84)  

© Claire Cornu 

 

Quelques uns des participants

© Claire Cornu

                                      

LIRE LE COMPTE-RENDU


2010

INSCRIPTION DU MÉTIER DE MURAILLER

En juillet 2010, le métier de murailler est reconnu métier d'art rare, inscrit à l'inventaire national du Patrimoine culturel immatériel (PCI) par le Ministère de la Culture.

Catherine Virassamy, Francesca Cominelli et l'artisan-murailler Vincent Mougel.

© Claire Cornu

 

LIRE LE RAPPORT DU SÉNAT 


2000-2009

VERS UNE STRUCTURATION DE LA FILIÈRE PROFESSIONNELLE

Entre 2000 et 2004, une convention est établie entre la Région Provence Alpes Côte d'Azur et la Chambre de métiers et de l'artisanat de Vaucluse pour étudier la faisabilité d'une filière professionnelle nationale.

Entre 2003 et 2006, une deuxième commande a porté sur la rédaction d'un guide de bonnes pratiques, conjointe de la Direction du commerce de l’artisanat, des services et des professions libérales du ministère (DCASPL), représentée par Suzanne Lacombe-Fievet, et de la Confédération artisanale des petites entreprises du bâtiment (CAPEB) représentée par Robert Fierret (34), Yves Marchand (84) et André Mollard (73).

 

Naissance des premières associations 

  • Les Muraillers de Provence
  • 2002 : Artisans Bâtisseurs en Pierres Sèches.
  • 2005 : Confrérie des bâtisseurs en pierre sèche du Gard. Parmi leurs contributions :

 

Le premier ouvrage de référence

  • 2008 : Le premier ouvrage de référence technique nationale, Règles de l’art pour bâtir la pierre à sec avec abaques de calculs de dimensionnement des profils des ouvrages, le Guide de bonnes pratiques de construction de murs de soutènement en pierre sèche,  avec le soutien de la Direction de l'Artisanat (DCASPL).
  • Une démarche nationale de certification du savoir-faire. Quel type de qualification : CQP ou titre professionnel ? La question est posée. D’étroites collaborations sont établies (depuis le VIIIème congrès international pour la pierre sèche de la SPS en Suisse à Viège en 2003) avec la Fédération suisse des maçons en pierre sèche, Urs Lippert, murailler et avec Richard Tufnell et Norman Haddow muraillers-formateurs de la Dry Stone Walling Association (DSWA) de Grande Bretagne. Relations renforcée en 2007 avec le voyage en Grande Bretagne et la rencontre avec Will Noble, murailler-formateur. Le Certificat de qualification professionnelle (CQP) niveau 2 « ouvrier professionnel en pierre sèche» est homologué par les Commissions Paritaires Nationales de l’Emploi (CPNE) conjointes du Bâtiment et des Travaux Publics , avec l’appui de la Fédération Française du Bâtiment (FFB) du Gard, André Czerwinski chargé de mission formation.

 

Les premières études techniques  

  • 2001 : Production d'un cahier des clauses techniques particulières (CCTP) avec le Laboratoire Géomatériaux de l'ENTPE, le Centre d'études techniques de l'Equipement (CETE) d'Aix-en-Provence
  • 2004 : Thèse de doctorat en génie civil par Boris Villemus
  • 2008 : Production des abaques de calcul de dimensionnement des soutènements en maçonnerie de pierre sèche, avec le Service d'étude et de travaux des routes et autoroutes (SETRA).  Ces abaques sont le fruit de campagnes de murs expérimentaux, entre 2m et 4m de haut, réalisés entre 2002 et 2008, en calcaire en Vaucluse puis schiste et en granit, en Lozère.
  • 2007 : Projet d'étudiants sur l'Analyse dy cycle de vie (ACV) d'un mur en pierre sèche avec le Laboratoire Tribologie et dynamique des systèmes (LTDS) de l'École Centrale de Lyon sous la direction d'Éric Vincens, en collaboration avec les Muraillers de Provence.
  • 2009 : Thèse de doctorat en génie civil par Anne-Sophie Colas
  • 2009 : Projet d'étudiants sur la comparaison de trois types de soutènements qui prouvent la pertinence technique, économique et écologique de la pierre sèche, sur le béton et le gabion, avec le Laboratoire Tribologie et dynamique des systèmes (LTDS) de l'École Centrale de Lyon sous la direction d'Éric Vincens, en collaboration avec les Muraillers de Provence et les Artisans Bâtisseurs en Pierre Sèche (ABPS).

 


1996-1999

LE RÉSEAU EUROPÉEN DES PAYS DE LA PIERRE SÈCHE (REPPIS)

L'un des premiers projets porteurs pour la relance de la filière de la pierre sèche est le Réseau européen des pays de la pierre sèche, mis en place avec le concours de la Commission européenne.

Il a rassemblé 4 régions européennes :

  • La région du Luberon (France) ;
  • La région de Majorque (Espagne) ;
  • La région de Zagorie (Grèce) ;
  • La région des Pouilles (Italie).

 

Structurés à partir de trois grands axes de travail, les principaux objectifs de ce réseau étaient :

1. Préservation et mise en valeur

  • Contribuer à la conservation et à la mise en valeur du patrimoine de pierre sèche
  • Contribuer à la préservation des paysages de pierre sèche

2. Développement loval et durable

  • Favoriser la création d'emplois liés à la conservation, à la mise en valeur et à l'usage du patrimoine de pierre sèche
  • Favoriser le développement d'une filière pierre de qualité
  • Promouvoir un tourisme durable des pays de la pierre sèche

3. Communication et lien

  • Sensibiliser et impliquer les habitants des territoires
  • Assurer les fonctions d'animation, de lien et d'échanges au travers du réseau REPPIS

 

Denis TESSARO lors du workshop de Bonnieux  (printemps 1999)

© Claire Cornu, 1999

Démonstration devant les participants au colloque

© Claire Cornu, 1999

Affiche du workshop de Palma de Mallorca (automne 1999)

© Claire Cornu, 1999

TÉLÉCHARGER LE PROGRAMME DE L'ATELIER REPPIS 1999

 


Fin des années 1990

UN REGAIN D'INTÉRÊT POUR LES OUVRAGES EN PIERRE SÈCHE

Dans les années 80-90, le métier d'artisans bâtisseurs en pierre sèche (ou murailler) n'existait plus. Seules quelques associations de sauvegarde du patrimoine et des chantiers de bénévoles ou d'insertion menaient des chantiers pour inventorier et restaurer les cabanes en pierre sèche. 

Soucieux de mener des mesures de sauvegarde et de relancer un marché pour la pierre sèche, des bénévoles et passionnés ont mené des réflexions et des travaux pour relancer la filière sur le territoire national. Aucune référentiel écrit existait et le savoir-faire était détenu par quelques familles ou individus en petit nombre sur différents territoires.

Pour relancer la filière, la première étape consistait à écrire un guide pratique et affiner la connaissances des murs en pierre sèche par de grandes campagnes d'inventaires et des travaux de recherche sur la technique de construction. Ainsi, plusieurs structures et organisations ont commencé à travailler ensemble.

Parmi les premières collaborations inter-régionales à l'échelle européenne, de nouveaux projets sont nés sous l'impulsion de la rencontre de nombreux acteurs : la Chambre des métiers et de l'artisanat de Vaucluse, l'Agence Paysages d'Avignon, l’Association pour la participation et l'action régionale (APARE), le Parc naturel régional du Luberon, le Parc National des Cévennes, l'ENTPE, et bien d'autres.

 

Répondre aux risques naturels

Face aux catastrophères naturelles meurtrières connues à la fin du XXe siècle, que cela soit les inondations à Nîmes qui font 9 morts en 1988, puis Vaison-la-Romaine avec 47 morts et 34 disparus en 1992, la préoccupation de maîtriser les eaux et freiner le ruissellement est au cœur des enjeux d'aménagements.

Une thèse portant sur le Ruissellement et risques majeurs, crue centennale en milieu urbanisé de Martine Guiton, à l'École Nationale des Ponts & Chaussées (ENPC) constitue une première investigation et réflexion sur les aménagements durables.

La pierre sèche, alors peu connue pour ses ouvrages qui permettent de drainer et faciliter les eaux de ruissellement, se révèle être intéressante pour jouer un rôle de prévention des risques naturels (lutte contre l'érosion des sols, gestion de ruissellement sur les versants).

 

Mieux connaître les ouvrages en pierre sèche

Des inventaires et recensement d'ouvrages en pierre, notamment par la Direction des routes, révèle que parmi les 11 716 murs (2,5 millions de m²) de soutènements routiers en pierre, au moins 2109 murs (400 000m²) sont en pierre sèche. Cette statistique ne concerne à l'époque que le réseau des routes national, tandis que le réseau départemental et communal des routes françaises sont plus importants encore. Le Service d'études techniques des routes et autoroutes (SETRA) annonce alors porter ses préoccupations sur les ouvrages en pierre.

 

Fort ce de constat, la Chambre de Métiers et de l'Artisanat de Vaucluse mobilise plusieurs entreprises artisanales issues de différents territoires et œuvrant sur différents types de pierres, sous l'impulsion de nombreuses personnes : Claire Cornu, Didier Lecuyer, Roger Bouvier, Paul Gilles, Paul Arnault, Denis Tressaro, Boris Villemus et Jean-Claude Morel.

 

TÉLÉCHARGER LE COMPTE-RENDU DE LA PREMIÈRE RENCONTRE DES MURAILLERS EN 2001